Premier épisode d’une nouvelle série de conférences-récits, qui rend hommage à des figures artistiques rares singulières : Richard Robert se penche sur le cas de Mark Hollis, l’homme qui s’est évadé du monde de la pop pour emmener sa musique aux confins du silence.
Eloge des oiseaux rares rend hommage à un cercle informel d’artistes hautement singuliers, restés pour la plupart à la périphérie des mondes connus de la musique, de la littérature, du cinéma, des arts. Une société secrète de génies souvent trop discrets, parfois fragiles, désireux de créer à leur propre rythme, adeptes des éclipses volontaires ou contraints au silence par l’adversité. Ce cycle de conférences remet en lumière ces spécimens uniques, qui nous amènent à reconsidérer notre propre relation à la création, au temps, au monde.
Pour cette première, Richard Robert conte le parcours du musicien anglais Mark Hollis (1955-2019), dont on aura écouté intégralement l’unique album solo trois jours plus tôt. Il reprend la diagonale de ce sage idéaliste, surfant sur le succès avec son groupe Talk Talk avant de partir peu à peu à la conquête d’un silence minutieusement choisi, pesé. Un silence dont, pendant les vingt dernières années de sa vie, il ne reviendra plus.
Eloge des oiseaux rares rend hommage à un cercle informel d’artistes hautement singuliers, restés pour la plupart à la périphérie des mondes connus de la musique, de la littérature, du cinéma, des arts. Une société secrète de génies souvent trop discrets, parfois fragiles, désireux de créer à leur propre rythme, adeptes des éclipses volontaires ou contraints au silence par l’adversité. Ce cycle de conférences remet en lumière ces spécimens uniques, qui nous amènent à reconsidérer notre propre relation à la création, au temps, au monde.
Pour cette première, Richard Robert conte le parcours du musicien anglais Mark Hollis (1955-2019), dont on aura écouté intégralement l’unique album solo trois jours plus tôt. Il reprend la diagonale de ce sage idéaliste, surfant sur le succès avec son groupe Talk Talk avant de partir peu à peu à la conquête d’un silence minutieusement choisi, pesé. Un silence dont, pendant les vingt dernières années de sa vie, il ne reviendra plus.