Ce concert est l'histoire d'un dialogue entre deux voix : la voix chantée et celle du violoncelle - instrument qui a toujours été considéré comme le plus proche de la voix humaine. C'est aussi l'histoire de deux mondes et la rencontre de deux cultures, l'Orient et l'Occident. L'Orient que nous rencontrons ici, c'est l'Arménie, sa culture millénaire, sa musique et ses chants, qui entrent en résonance avec les compositions de Bach, Kodály et Ligeti elles aussi issues puisant dans le folklore.
Pour la violoncelliste Astrig Siranossian, la mélodie vocale et le son du violoncelle sont deux voix qu'elle a toujours combinées dans ses concerts, associant une danse d'une suite pour violoncelle seul de Bach à un chant arménien qu'elle interprète avec beaucoup de sensibilité. Orient et Occident, Arménie et Europe : ce sont ses racines et ses émotions que la jeune violoncelliste nous fait partager ici.
Pour la violoncelliste Astrig Siranossian, la mélodie vocale et le son du violoncelle sont deux voix qu'elle a toujours combinées dans ses concerts, associant une danse d'une suite pour violoncelle seul de Bach à un chant arménien qu'elle interprète avec beaucoup de sensibilité. Orient et Occident, Arménie et Europe : ce sont ses racines et ses émotions que la jeune violoncelliste nous fait partager ici.