Ce concert est une première française.
Peter Michael Hamel a émergé de la scène Krautrock allemande des années 70 avec une musique puisant autant dans ses racines musicales allemandes que celles du minimalisme américain. Cet artiste visionnaire et curieux des musiques extra-européennes, en particulier la musique classique de l'Inde s'est également inspiré des philosophies asiatiques et des travaux de Jean Gebser et de C. G. Jung pour créer une musique qui cherche à se rendre accessible à l'auditeur par le biais de l'expérience méditative et de l'exploration de soi.
Il a également étudié la musique entre 1969 et 1974 avec John Cage, Morton Feldman, Terry Riley et pris quelques leçons de piano avec Mal Waldron. Il a également suivi quelques cours avec Karlheinz Stockhausen et improvisé avec Luc Ferrari. Pianiste, il n'hésite pas à expérimenter sa musique sur différents instruments : orgue, chant, dispositifs électroniques. Après quelques enregistrements mythiques (Hamel - 1972 Vertigo ; Nada - 1977 Wergo) de nombreuses oeuvres (dont une Symphonie dirigée par Sergiu Celibidache) se consacre désormais à l'improvisation live et joue avec son fils Thelonious aux dispositifs électroacoustiques et à la clarinette. Leur objectif étant de : déclencher une émergence involontaire et immédiate de la musique, une sorte de moment créatif permanent : l'état résolument communicatif de l'ici et du maintenant pour tous les auditeurs : la musique du présent.
Terry Riley à propos de Peter Michael Hamel
Ses sensibilités étaient davantage attirées par le minimalisme américain, la musique indienne et - dans une certaine mesure - le rock et le jazz. En ce sens, il se distingue dans le domaine de la musique moderne allemande. Il a reconnu l'importance de l'improvisation et de l'instant présent dans l'interprétation musicale. Il est conscient de l'importance de l'expérimentation et de la recherche de nouvelles façons de noter ses idées. Cependant, sa musique est en même temps enracinée dans la grande tradition allemande et il est aujourd'hui reconnu comme une figure majeure
Peter Michael Hamel a émergé de la scène Krautrock allemande des années 70 avec une musique puisant autant dans ses racines musicales allemandes que celles du minimalisme américain. Cet artiste visionnaire et curieux des musiques extra-européennes, en particulier la musique classique de l'Inde s'est également inspiré des philosophies asiatiques et des travaux de Jean Gebser et de C. G. Jung pour créer une musique qui cherche à se rendre accessible à l'auditeur par le biais de l'expérience méditative et de l'exploration de soi.
Il a également étudié la musique entre 1969 et 1974 avec John Cage, Morton Feldman, Terry Riley et pris quelques leçons de piano avec Mal Waldron. Il a également suivi quelques cours avec Karlheinz Stockhausen et improvisé avec Luc Ferrari. Pianiste, il n'hésite pas à expérimenter sa musique sur différents instruments : orgue, chant, dispositifs électroniques. Après quelques enregistrements mythiques (Hamel - 1972 Vertigo ; Nada - 1977 Wergo) de nombreuses oeuvres (dont une Symphonie dirigée par Sergiu Celibidache) se consacre désormais à l'improvisation live et joue avec son fils Thelonious aux dispositifs électroacoustiques et à la clarinette. Leur objectif étant de : déclencher une émergence involontaire et immédiate de la musique, une sorte de moment créatif permanent : l'état résolument communicatif de l'ici et du maintenant pour tous les auditeurs : la musique du présent.
Terry Riley à propos de Peter Michael Hamel
Ses sensibilités étaient davantage attirées par le minimalisme américain, la musique indienne et - dans une certaine mesure - le rock et le jazz. En ce sens, il se distingue dans le domaine de la musique moderne allemande. Il a reconnu l'importance de l'improvisation et de l'instant présent dans l'interprétation musicale. Il est conscient de l'importance de l'expérimentation et de la recherche de nouvelles façons de noter ses idées. Cependant, sa musique est en même temps enracinée dans la grande tradition allemande et il est aujourd'hui reconnu comme une figure majeure